Le réchauffement met en péril l'économie mondiale

"Le réchauffement met en péril l'économie mondiale".
Par ce titre, "Le Monde.fr" expose dans un article en date du 31 octobre 2006 la pierre d'achoppement des conséquences concrètes du réchauffement climatique à même de faire réagir l'humanité toute entière, essentiellement celle des pays les plus industrialisés, notamment au sein de l'Europe : l'argent, les biffeton et autres blé, flouze, fraîche, fric, kopeck, oseille, pépètes, pognon, radis, ronds... les soussous, les thunes quoi... bref j'ai nommé le seul langage que l'on comprenne, cette sacrosainte notion arbitraire qui date de ce jour capital où l'homme a planté pour la toute première fois quatre piquets de bois autour d'un lopin de terre avec son arbre en plein milieu et en disant à la pie : "touche pas à mon poteau !" et à la marmotte : "vas coucher ailleurs ! ici c'est chez moi !".
Bref, et je mettrai de côté mes petits écarts de langage
pour revenir sur les propos de l'article cité :
Car
Avançant le prix astronomique du coût des conséquences d'une telle négligence, ce rapport tend à démontrer que la lutte contre le réchauffement ne pénaliserait pas notablement l'essor économique des "Etats les plus pollueurs de la planète - les Etats-Unis, mais aussi l'Inde et la Chine -" et il met "la responsabilité de l'action fermement dans le camp des artisans de la politique étrangère et économique."
En conclusion de l'article du Monde :

J'espère que "Le Monde.fr" me pardonnera ces larges citations de son article, mais je crois que les mots (les propos originaux) parlent d'eux-mêmes et c'est pour la bonne cause. Je souhaitais exprimer en cette occasion ma gratitude pour son engagement, ses articles réguliers et augmentants qui contribuent à rassembler le monde dans la lutte contre le réchauffement.
Par ce titre, "Le Monde.fr" expose dans un article en date du 31 octobre 2006 la pierre d'achoppement des conséquences concrètes du réchauffement climatique à même de faire réagir l'humanité toute entière, essentiellement celle des pays les plus industrialisés, notamment au sein de l'Europe : l'argent, les biffeton et autres blé, flouze, fraîche, fric, kopeck, oseille, pépètes, pognon, radis, ronds... les soussous, les thunes quoi... bref j'ai nommé le seul langage que l'on comprenne, cette sacrosainte notion arbitraire qui date de ce jour capital où l'homme a planté pour la toute première fois quatre piquets de bois autour d'un lopin de terre avec son arbre en plein milieu et en disant à la pie : "touche pas à mon poteau !" et à la marmotte : "vas coucher ailleurs ! ici c'est chez moi !".

Bref, et je mettrai de côté mes petits écarts de langage

Le Royaume-Uni s'affiche désormais comme l'un des champions de la lutte contre les effets du réchauffement climatique. Au service d'une politique qui se veut résolue, le rapport Stern, rendu public le 30 octobre, alerte sur les risques d'une récession économique "d'une ampleur catastrophique" si rien n'était rapidement engagé à l'échelle de la planète contre l'effet de serre.
Car
L'originalité de ce document de plus de 600 pages, commandé en juillet 2005 par le chancelier de l'Echiquier, Gordon Brown, au chef du service économique du gouvernement britannique, Sir Nicholas Stern, est d'offrir une évaluation chiffrée - particulièrement inquiétante - de ce que coûterait une absence d'engagement de l'humanité tout entière face à cette menace.
Avançant le prix astronomique du coût des conséquences d'une telle négligence, ce rapport tend à démontrer que la lutte contre le réchauffement ne pénaliserait pas notablement l'essor économique des "Etats les plus pollueurs de la planète - les Etats-Unis, mais aussi l'Inde et la Chine -" et il met "la responsabilité de l'action fermement dans le camp des artisans de la politique étrangère et économique."
En conclusion de l'article du Monde :
Pour inciter les Américains à exercer une pression sur l'administration Bush, qui refuse de ratifier le protocole [de Kyoto de réduction de l'effet de serre], Gordon Brown a sorti de sa manche un atout. Il s'est offert les services d'un nouveau et influent conseiller, l'ancien vice-président américain Al Gore, dont le film sur la défense de la planète Terre Une Vérité qui dérange (An Inconvenient Truth) (2006) fait recette et qui est devenu de ce fait l'un des acteurs les plus ardents et les plus convaincants de la nécessité d'une lutte contre le réchauffement et contre l'inaction de l'administration Bush.
J'espère que "Le Monde.fr" me pardonnera ces larges citations de son article, mais je crois que les mots (les propos originaux) parlent d'eux-mêmes et c'est pour la bonne cause. Je souhaitais exprimer en cette occasion ma gratitude pour son engagement, ses articles réguliers et augmentants qui contribuent à rassembler le monde dans la lutte contre le réchauffement.