L'émotion (et son inhibition)

Ce sujet de l'émotion - et de son inhibition - qui m'est cher, me turlupine modérément depuis que j'ai croisé il y a peu, un sujet sur TCM, décortiquant 2001, l'odyssée de l'espace, le film.
Je me disais jusqu'alors, que ce registre de l'émotion était un thème plutôt confiné à la dystopie - émotion bannie, censurée, étouffée, traquée, inhibée, tant de mots pouvant la redéfinir, et tant de maux la réprimer.
Alors, comment considérer cette platitude, cet ennui dans les relations et le comportement des personnages dans le film précité ? Car 2001 ne se classe pas à ma connaissance dans le registre de la dystopie.
Partant de ce constat, le sujet me semble s'imposer comme tel, un thème à part entière, aux facettes d'un prisme qui nous démonte et nous montre l'âme humaine, dans toute sa complexité, sa fragilité comme sa force.
Je me disais jusqu'alors, que ce registre de l'émotion était un thème plutôt confiné à la dystopie - émotion bannie, censurée, étouffée, traquée, inhibée, tant de mots pouvant la redéfinir, et tant de maux la réprimer.
Alors, comment considérer cette platitude, cet ennui dans les relations et le comportement des personnages dans le film précité ? Car 2001 ne se classe pas à ma connaissance dans le registre de la dystopie.
Partant de ce constat, le sujet me semble s'imposer comme tel, un thème à part entière, aux facettes d'un prisme qui nous démonte et nous montre l'âme humaine, dans toute sa complexité, sa fragilité comme sa force.