neocobalt

Il était une fois trois rois mages qui suivaient une étoile dans le ciel. Ils marchaient séparément chacun sur un chemin dont ils croyaient tout connaître. Une légende racontait qu’ils se rejoindraient un jour prochain sur le seuil de l’odyssée. L’odyssée ? De quelle odyssée s’agissait-il ? La légende annonçait que cela « serait », ce jour où ils comprendraient « qu’il existe une différence entre connaître le chemin et arpenter le chemin ». Et ils se retrouvèrent côte à côte, sur le même chemin, du jour au lendemain ; et il en avait toujours été ainsi. Les rois mages tendirent machinalement leurs mains pour se saluer. Leur geste n’alla pas jusqu’au bout du chemin de l’amitié et de la fraternité qu’ils s’offraient de partager. Dans la paume de leur main : un caillou, bleu moiré. Ils surent qu’ils tenaient là les trois « cobalts » qu’ils pourraient semer, récolter et partager avec le plus grand nombre. Au seuil de l’odyssée qui ne faisait que commencer...
CobaltOdyssée se propose de faire partager au plus grand nombre la passion de l’imagination. Et si j’étais l’un de ces trois rois mages, dont le chemin vous a été conté dans la petite histoire présentée précédemment, je souhaiterais donner ma vision de mes premiers pas en votre compagnie, sur le chemin qui reste tout à tracer : dans l’univers de l’imagination, la fiction en est le produit, et selon moi il convient de se garder de la confondre avec la réalité. La citation des propos de Demètre Ioakimidis, dans sa préface des Histoires fausses de La grande anthologie de la science-fiction (domaine de la science-fiction que j’affectionne tout particulièrement), résume bien cela : « Tout récit de science-fiction est ‘faux’ dans le sens que son auteur le propose au lecteur comme produit de son imagination, et non comme narration d'événements réels ».
Si j’aborde ce sujet ici, c’est parce que cette précaution n’est pas toujours suivie (ni souhaitée) comme en témoigne notamment le syndrome du complot dans l’imaginaire outre-atlantique.
Je m’efforcerai de suivre ce chemin mais aussi et surtout, bien sûr, de beaucoup m’amuser en compagnie des membres du forum.
A CobaltOdyssée, je souhaite « une vie longue et prospère ».
CobaltOdyssée se propose de faire partager au plus grand nombre la passion de l’imagination. Et si j’étais l’un de ces trois rois mages, dont le chemin vous a été conté dans la petite histoire présentée précédemment, je souhaiterais donner ma vision de mes premiers pas en votre compagnie, sur le chemin qui reste tout à tracer : dans l’univers de l’imagination, la fiction en est le produit, et selon moi il convient de se garder de la confondre avec la réalité. La citation des propos de Demètre Ioakimidis, dans sa préface des Histoires fausses de La grande anthologie de la science-fiction (domaine de la science-fiction que j’affectionne tout particulièrement), résume bien cela : « Tout récit de science-fiction est ‘faux’ dans le sens que son auteur le propose au lecteur comme produit de son imagination, et non comme narration d'événements réels ».
Si j’aborde ce sujet ici, c’est parce que cette précaution n’est pas toujours suivie (ni souhaitée) comme en témoigne notamment le syndrome du complot dans l’imaginaire outre-atlantique.
Je m’efforcerai de suivre ce chemin mais aussi et surtout, bien sûr, de beaucoup m’amuser en compagnie des membres du forum.
A CobaltOdyssée, je souhaite « une vie longue et prospère ».