Le Navire des Glaces - Michael Moorcock (1966..1969)

Le Navire des Glaces
Michael Moorcock
Titre original : The Ice Schooner
Voici comment Presses Pocket présente ce roman de Science-Fantasy en quatrième de couverture :
"Quand Konrad Arflane perdit le commandement de son navire, il prit ses skis et partit au hasard. Il voulait être au calme pour réfléchir et décider s'il devait vivre ou mourir. La banquise recouvrait la Terre entière : que pouvait faire un capitaine sans son navire des glaces ? Konrad croyait aux vieilles idées : le cours naturel de toutes choses allait vers le froid absolu et la mort. Une tradition parlait de New-York, où les Spectres du Gel, depuis l'aurore des temps, tiennent leur cour dans le palais mythique de la Glace-Mère. Certains osaient dire que le soleil se réchauffait, que la Glace-Mère était mourante : des impies ! Jadis, il y avait eu la saleté, le vert, la vie ; mais la mort a toujours le dernier mot. Konrad, le capitaine fou, était l'Elu de la Mère, le seul homme capable de conduire le vaisseau jusqu'à New-York, à la recherche du savoir qui changerait le monde. Et ça se savait."
Michael Moorcock
Titre original : The Ice Schooner
Voici comment Presses Pocket présente ce roman de Science-Fantasy en quatrième de couverture :
"Quand Konrad Arflane perdit le commandement de son navire, il prit ses skis et partit au hasard. Il voulait être au calme pour réfléchir et décider s'il devait vivre ou mourir. La banquise recouvrait la Terre entière : que pouvait faire un capitaine sans son navire des glaces ? Konrad croyait aux vieilles idées : le cours naturel de toutes choses allait vers le froid absolu et la mort. Une tradition parlait de New-York, où les Spectres du Gel, depuis l'aurore des temps, tiennent leur cour dans le palais mythique de la Glace-Mère. Certains osaient dire que le soleil se réchauffait, que la Glace-Mère était mourante : des impies ! Jadis, il y avait eu la saleté, le vert, la vie ; mais la mort a toujours le dernier mot. Konrad, le capitaine fou, était l'Elu de la Mère, le seul homme capable de conduire le vaisseau jusqu'à New-York, à la recherche du savoir qui changerait le monde. Et ça se savait."