Willow

Willow
Film de Ron Howard, 1988
Histoire et production de George Lucas
Distribution :
Madmartigan (Vil Kilmer), Sorsha (Joanne Whalley), Willow (Warwick Davis), Queen Bavmorda (Jean Marsh), Raziel (Patricia Hayes), Elora Danan (Ruth & Kate Greenfield)
(Source photo : AlloCiné)
L'histoire
La prophétie est sur le point de s'accomplir avec la venue au monde de la future impératrice. L'ordre donné par la cruelle reine Bavmorda de tuer les nouveaux-nés ne peut empêcher l'élue, Elora Danan, d'être sauvée des eaux par l'un des fermiers du village des Nelwyns, Willow, l'apprenti sorcier. Chargé de la remettre entre les mains des Daikinis, Willow quitte à regret les siens et part pour la croisée des chemins où il fera la rencontre d'un aventurier, Madmartigan...
Willow et Star Wars
Empruntant les ingrédients du merveilleux, de la fantasy, ce film dont l'histoire porte la marque de George Lucas, créateur du monumental Star Wars, s'en rapproche fortement.
Le village des Nelwyns et ses petits habitants font échos aux Ewoks de l'épisode 6 de Star Wars : Le retour du Jedi.
Nous reconnaissons en Willow, apprenti sorcier, l'équivalent d'un apprenti Jedi, comme l'est Luke Skywalker.
Willow s'aventurera jusque sur l'île de la grande sorcière, en laquelle nous pourrions reconnaître un Yoda facétieux.
Le personnage de la reine Bavmorda trouve son égal du côté obscur en l'empereur, et tout autant en son pantin, Dark Vador. Vador transparaît ici, au travers du conflit qui opposera la reine à sa fille Sorsha ; conflit que nous retrouvons entre Vador et son fils Luke.
L’innocente baguette magique dont se sert Willow pour faire appel aux pouvoirs de la magie n'est pas sans rappeler le sabre laser des chevaliers Jedi.
Tout cela s'ébouriffant de fantaisie, de féerie, de beaucoup d'humour, de bravoure, de bagarres, de chevauchées et de cascades endiablées, de Trolls et de château assiégé, de forteresse et de sortilège.
L'aube du numérique
Avec Willow, le numérique prend son essor : la technique du morphing a été développée pour ce film et participa au succès du studio ILM de LucasFilm, avec aux commandes, Dennis Muren, superviseur des effets spéciaux.
Rien de plus marquant ensuite, jusqu'à la révolution numérique qui nous a tous ébahis lors de la sortie sur le grand écran de Terminator 2 : Judgement Day.
La magie de Willow
A retenir parmi les magiciens de ce film, outre George Lucas, Ron Howard et Dennis Muren et leurs équipes : James Horner, auteur du thème musical qui accompagne avec élégance l'histoire et le périple de Willow.
Le film nous offre quelques perles : quelle scène amusante quand les deux sorcières en viennent aux mains pour régler leurs comptes !
Petite réserve toutefois : Elora, le bébé qui pleure beaucoup pendant le film...
Film de Ron Howard, 1988
Histoire et production de George Lucas
Distribution :
Madmartigan (Vil Kilmer), Sorsha (Joanne Whalley), Willow (Warwick Davis), Queen Bavmorda (Jean Marsh), Raziel (Patricia Hayes), Elora Danan (Ruth & Kate Greenfield)

(Source photo : AlloCiné)
L'histoire
La prophétie est sur le point de s'accomplir avec la venue au monde de la future impératrice. L'ordre donné par la cruelle reine Bavmorda de tuer les nouveaux-nés ne peut empêcher l'élue, Elora Danan, d'être sauvée des eaux par l'un des fermiers du village des Nelwyns, Willow, l'apprenti sorcier. Chargé de la remettre entre les mains des Daikinis, Willow quitte à regret les siens et part pour la croisée des chemins où il fera la rencontre d'un aventurier, Madmartigan...
Willow et Star Wars
Empruntant les ingrédients du merveilleux, de la fantasy, ce film dont l'histoire porte la marque de George Lucas, créateur du monumental Star Wars, s'en rapproche fortement.
Le village des Nelwyns et ses petits habitants font échos aux Ewoks de l'épisode 6 de Star Wars : Le retour du Jedi.
Nous reconnaissons en Willow, apprenti sorcier, l'équivalent d'un apprenti Jedi, comme l'est Luke Skywalker.
Willow s'aventurera jusque sur l'île de la grande sorcière, en laquelle nous pourrions reconnaître un Yoda facétieux.
Le personnage de la reine Bavmorda trouve son égal du côté obscur en l'empereur, et tout autant en son pantin, Dark Vador. Vador transparaît ici, au travers du conflit qui opposera la reine à sa fille Sorsha ; conflit que nous retrouvons entre Vador et son fils Luke.
L’innocente baguette magique dont se sert Willow pour faire appel aux pouvoirs de la magie n'est pas sans rappeler le sabre laser des chevaliers Jedi.
Tout cela s'ébouriffant de fantaisie, de féerie, de beaucoup d'humour, de bravoure, de bagarres, de chevauchées et de cascades endiablées, de Trolls et de château assiégé, de forteresse et de sortilège.
L'aube du numérique
Avec Willow, le numérique prend son essor : la technique du morphing a été développée pour ce film et participa au succès du studio ILM de LucasFilm, avec aux commandes, Dennis Muren, superviseur des effets spéciaux.
Rien de plus marquant ensuite, jusqu'à la révolution numérique qui nous a tous ébahis lors de la sortie sur le grand écran de Terminator 2 : Judgement Day.
La magie de Willow
A retenir parmi les magiciens de ce film, outre George Lucas, Ron Howard et Dennis Muren et leurs équipes : James Horner, auteur du thème musical qui accompagne avec élégance l'histoire et le périple de Willow.
Le film nous offre quelques perles : quelle scène amusante quand les deux sorcières en viennent aux mains pour régler leurs comptes !
Petite réserve toutefois : Elora, le bébé qui pleure beaucoup pendant le film...